Des groupes d'entraide de genres variés émergent lorsque la parenté, la gouvernance territoriale ou d'autres associations coutumières s'avèrent peu fiables. Les interactions qui semblent utiles et mutuelles à l'une des parties ne semblent pas nécessairement l’être à une autre. Leur caractère n'est pas façonné que par la raison et la nécessité économique ou politique, mais également par les sentiments, dont certains sont communs aux humains et aux animaux. Ces sentiments dépendent souvent, néanmoins, de dispositifs symboliques et linguistiques distinctement humains, parfois de genres ironiques. L'entraide en Afrique s’étend souvent sur plusieurs générations et, selon certaines interprétations, au vivant et au non-vivant. Les rites et les cérémonies peuvent évoluer au fil du temps par rapport à d'autres qui sont pratiqués. Il est difficile de généraliser ou de prédire si ces conventions se renforcent mutuellement, comme par la pratique, ou se substituent à d'autres de manière plus...
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