Cet article analyse la contribution de Ruth First aux connaissances des luttes en Afrique du Sud et en Afrique. First était inspirée par son expérience de chercheuse militante en Afrique du Sud, par sa relecture du travail de Govan Mbeki sur Transkei, et par ses expériences au Royaume-Uni. De manière significative, cette contribution examine l'intérêt et l'engagement de First avec la gauche italienne de manière large, englobant son travail pour la Fondation Lelio Basso, notamment sur les violations de la Charte des Nations unies. Cet article met en débat aussi les analyses larges et diverses de First sur l'Afrique. Il conclut avec une discussion du travail de First au Centro de Estudos Africanos (CEA), et du développement de la corrélation proche entre l'enseignement et la recherche mise au point au CEA, qui était engagée politiquement d'une manière critique mais dynamique.
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