Cet article analyse un mouvement de femmes qui a émergé dans le contexte de la marchandisation accrue des terres au Maroc. Il se concentre sur les dynamiques qui ont caractérisé la fabrique de cette coalition d'acteurs par-delà les divisions sociales. Il analyse principalement la division des tâches parmi les différents partenaires, mettant en lumière le rôle joué par les organisations et les acteurs intermédiaires pour connecter et fusionner des normes, pratiques et acteurs locaux, nationaux et internationaux. L'émancipation de cette couche intermédiaire de leaders indique une inversion graduelle des rapports de pouvoir et illustre la fluidité des relations de domination au sein de mouvements sociaux.
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