Du début de l’insurrection, le 16 février 2011, avec le refus d’une partie de l’armée libyenne de réprimer dans le sang les manifestants et la défection d’un certain nombre de militaires, à la reddition de Tripoli plus de six mois plus tard, la loyauté, la cohésion, le leadership et les capacités opérationnelles de l’armée libyenne ont été au centre des questionnem...