Dans un article il y a une dizaine d'années, l'auteur, M. Paul Fabre, constatait que le langage courant se sert indistinctement du mot épargne pour désigner tantôt une mentalité, tantôt un acte, tantôt le résultat concret de cet acte.L'économiste s'intéresse presque exclusivement à ce troisième aspect ; il considère qu'employé sans autre précision, le terme épargne...