Cet article explore la reconfiguration de l'autorité rurale à la suite du programme accéléré de réforme foncière au Zimbabwe, en particulier la manière dont le programme a permis aux chefs locaux de développer l'autochtonie ancestrale comme un moyen de contester l'hégémonie de l’État sur les zones rurales. L'article soutient que les chefs ne peuvent pas être considérés simplement comme des vestiges non démocratiques de la loi coloniale ; au lieu de cela, il est nécessaire de comprendre de manière nuancée leur rôle dans la gouvernance rurale.
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